..........Le temps était étrange en cette fin d’après-midi. Sakura, comme tous les lycéens, n’avait pas cours le mercredi après-midi. Elle avait donc décidé de se balader dans les rues de Konoha malgré des nuages bas et menaçants. Elle flânait au grès de ses envies, laissant ses pensées vagabonder même si elles revenaient trop souvent à son goût vers un certain brun taciturne. Elle soupira mais n’essaya pas de chasser l’image du jeune homme de son esprit, c’était inutile et elle avait besoin de penser à autre chose qu’à ses cours. D’ailleurs, depuis quelques semaines, depuis qu’elle avait parlé à Temari à la fête foraine en fait, elle ne cessait de penser à Sasuke. Elle n’osait toujours pas lui avouer ses sentiments, elle avait peur. Elle se trouvait idiote d’avoir une tellement réaction, mais voilà elle avait peur de ne pas contrôler ses sentiments trop forts pour Sasuke. Elle sentait qu’en se rapprochant de lui, elle finirait par ne plus rien contrôler et elle était tout à fait consciente qu’elle pourrait aller très loin avec lui.
La jeune fille se mordilla les lèvres, signe de nervosité et leva le nez vers le ciel. Le temps se couvrait, et la chaleur étouffante et humide annonçait l’approche imminente de l’orage. Sakura jeta un regard autour d’elle afin de ses repérer et bifurqua à droite pour reprendre le chemin de chez elle. Elle n’avait pas prêté attention à ses pas et elle se trouvait maintenant bien loin de son domicile. Elle sentit une goutte tomber sur son bras et accéléra le pas pour rentrer chez elle avait d’être trempée.
Cependant, le temps en décida autrement et en quelques minutes, Sakura se retrouva à courir sous la pluie battante, se maudissant de ne pas avoir pris de parapluie, ni de pull. Elle aperçut un porche plus large que les autres et s’y engouffra pour reprendre sa respiration. Elle s’appuya sur la porte en prenant garde à ne pas faire de bruit pour ne pas alerter les habitants. Haletante, elle ferma les yeux, bascula la tête en arrière et attendit quelques minutes que son cœur reprenne un rythme normal.
Elle finit par rouvrir les yeux et se pencha un peu en avant pour juger de l’intensité de la pluie et vérifier que dans sa course elle n’avait pas prit la mauvaise route. Cependant, en penchant la tête en l’extérieur du porche qui l’abritait, elle fut surprise de pas sentir des gouttes lui tomber sur les cheveux. Pourtant, elle voyait nettement la pluie qui tombait encore. Elle tourna sa tête de l’autre coté sans attendre et sourit en rencontrant le regard familier du jeune homme qui tenait un parapluie au-dessus d’elle.
Sakura : C’était pas une bonne idée de sortir aujourd’hui…
Le jeune homme se contenta de lui sourire et s’avança un peu plus vers elle. Sa masse de cheveux noirs et ses yeux de charbon se fondaient dons l’obscurité soudain créée par l’orage.
Sakura : Que fais-tu dans ce quartier Sasuke, c’est pourtant loin de chez toi ?
Sasuke : Je te retourne la question.
Sakura : Je n’ai pas regardé où j’allais et maintenant je suis bonne pour rentrer à pied et sous la pluie !
Sasuke : Aller viens.
Sakura ne comprit pas tout de suite ce que Sasuke voulait dire, puis celui-ci lui fit un signe du menton. Sakura comprit et fit un pas vers lui pour se glisser sous le parapluie. Un frisson parcourut sa colonne vertébrale et elle sentit une veste chaude se poser sur ses épaules. Au contact du vêtement, elle ne put s’empêcher de rougir, ni de se rapprocher un peu plus de Sasuke. Les deux adolescents se mirent en route, leurs pas rythmés par le bruit des gouttes sur la toile du parapluie.
Sakura profita de ce silence pour se remémorer les événements de la semaine précédant et un en particulier…
*Flash Back : *
Cela faisait maintenant trois semaines que Sasuke et Sakura ne s’étaient plus adressé la parole. Ce jour-là, ils étaient arrivés en même temps au lycée, comme tous les matins. Ils prenaient le même car.
Sasuke était parti devant, avançant à grandes enjambées. Sakura le suivait de loin pour rejoindre, elle aussi, leurs amis.
Cependant, à mi-chemin de leur destination, Sakura avait fait tomber son portable et lâché un juron qui était parvenu à Sasuke. Accroupie pour ramasser coque et batterie, elle ne l’avait pas vu approcher. Elle commençait à s’énerver contre la batterie qu’elle n’arrivait pas à remettre en place quand une main s’était posée sur la sienne.
Elle avait levé les yeux et croisé son regard. Plus noir et plus envoûtant que d’habitude, elle n’avait pu s’empêcher de rougir. Il lui avait doucement retiré le portable des mains, sans un mot et avait remonté le tout avant de lui rendre.
Sakura avait fixé les mains du jeune homme pendant toute la durée de l’opération et quand elle eut rangé son téléphone, leurs regards s’étaient de nouveau croisés.
Sans comprendre ce qu’il lui arrivait, Sakura s’était jetée au cou de Sasuke qui n’avait pas hésité une seule seconde à la serrer dans ses bras. Sakura avait enfouit son visage couvert de larme dans le cou du jeune homme. Ses lèvres tremblantes et collées à son cou lui avait donné des frissons quand elle avait prononcé mille mots d’excuse pour sa conduite.
Sakura avait fini par se taire et ils étaient restés longtemps ainsi, dans les bras l’un de l’autre, sous les yeux ébahis de leurs amis.
Depuis, ils se reparlaient plus ou moins et vivaient une relation encore plus étrange qu’avant. En public, ils avaient l’air de simples amis et encore, comme si une barrière se dressait entre eux. Mais quand ils avaient l’occasion de se retrouver seuls, Sakura n’hésitait plus à se glisser dans ses bras, s’excusant encore et encore pour sa conduite ignoble envers lui, lui répétant sans cesse qu’elle était prête à tout pour le rendre heureux.
*Fin Flash Back *
Sakura soupira quand elle sentit la main se poser sur son épaule. Cependant, elle ne se dégagea pas, au contraire, elle se serra un peu plus contre le jeune homme et ils parcoururent les derniers mètres ainsi.
Quand ils arrivèrent chez Sakura, celle-ci proposa à Sasuke d’entrer et ce dernier ne se fit pas prier.
Sakura (entrant) : Papa ! Maman ! Je suis rentrée, je monte me changer. Sasuke est avec moi !
Un marmonnement lui parvenu de la cuisine et elle monta l’escalier, entraînant Sasuke après elle. Elle prit deux serviettes dans le placard et en donna une à Sasuke qui n’était pourtant pas beaucoup mouillé. Elle passa rapidement dans la salle de bain pour enfiler un jogging et un tee-shirt sec, puis elle rejoignit Sasuke dans sa chambre. Lorsqu’il la vit, un sourire moqueur se peignit sur son visage.
Sasuke : On a déjà vu plus sexy comme tenue…
Pour toute réponse, Sakura lui tira la langue et se jeta sur lui pour le faire basculer sur le lit. Elle le chatouilla quelques secondes sans effet. Elle finit par laisser tomber et s’allongea à côté de lui. Sasuke se redressa sur un coude et plongea son regard dans le sien. Sakura, gênée par le silence, se décida à la rompre.
Sakura : Merci de m’avoir raccompagné.
Sasuke : Hn.
Sakura : Tu sais, je suis…
Sasuke lui mit un doigt sur les lèvres pour la faire taire. Il savait très bien ce qu’elle allait dire. Il reposa sa tête sur le lit et déposa un baiser sur sa joue au passage. Sakura rougit violemment ce qui fit sourire Sasuke. Ce dernier leva sa main vers son visage et commença à caresser les rougeurs de ses joues. Quelques semaines plus tôt, il ne lui aurait jamais fait cet effet, il ne se serrait pas non plus permit d’aller aussi loin avec elle. Elle ne l’y aurait pas non plus autorisé.
Soudain, il avança de nouveau son visage vers le sien et posa ses lèvres sur sa joue, puis il descendit lentement très lentement vers ses lèvres. Le cœur de Sakura battait de plus en plus vite. Elle en avait tellement envie. Un tourbillon de sensations naquit dans le creux de son ventre et quand le jeune homme arriva à la commissure de ses lèvres, elle le laissa poser un dernier baiser avant de tourner la tête. Sasuke s’éloigna de Sakura.
Sakura (murmure) : Arrête s’il te plait…
Elle entendit le jeune homme soupirer et se mordit les lèvres. Oui, elle avait peur. Les sentiments qu’elle ressentait en sa présence, maintenant qu’elle se l’était avoué était plus fort que jamais. Elle finit tout de même par se glisser dans ses bras et Sasuke se mit à lui caresser les cheveux.
Sakura (murmure) : Je suis désolée…
Sasuke : Non, c’est moi qui m’excuse Sakura. Je t’aime, je ne peux pas lutter contre mes sentiments mais je ne devrais pas t’imposer ça.
Sakura en resta muette de surprise. C’était la première fois que Sasuke lui déclarait si ouvertement ses sentiments. Elle ferma les yeux, ne sachant comment réagir.
Sakura (chuchotant) : Sasuke…
Le jeune homme émit un grognement et se leva.
Sasuke : Je vais y aller. A demain.
Il sortit de sa chambre sans un mot de plus, sans se retourner non plus. Sakura ne se leva pas, elle ferma les yeux et s’endormit en se promettant de ne pas résister la prochaine fois…
La jeune fille se mordilla les lèvres, signe de nervosité et leva le nez vers le ciel. Le temps se couvrait, et la chaleur étouffante et humide annonçait l’approche imminente de l’orage. Sakura jeta un regard autour d’elle afin de ses repérer et bifurqua à droite pour reprendre le chemin de chez elle. Elle n’avait pas prêté attention à ses pas et elle se trouvait maintenant bien loin de son domicile. Elle sentit une goutte tomber sur son bras et accéléra le pas pour rentrer chez elle avait d’être trempée.
Cependant, le temps en décida autrement et en quelques minutes, Sakura se retrouva à courir sous la pluie battante, se maudissant de ne pas avoir pris de parapluie, ni de pull. Elle aperçut un porche plus large que les autres et s’y engouffra pour reprendre sa respiration. Elle s’appuya sur la porte en prenant garde à ne pas faire de bruit pour ne pas alerter les habitants. Haletante, elle ferma les yeux, bascula la tête en arrière et attendit quelques minutes que son cœur reprenne un rythme normal.
Elle finit par rouvrir les yeux et se pencha un peu en avant pour juger de l’intensité de la pluie et vérifier que dans sa course elle n’avait pas prit la mauvaise route. Cependant, en penchant la tête en l’extérieur du porche qui l’abritait, elle fut surprise de pas sentir des gouttes lui tomber sur les cheveux. Pourtant, elle voyait nettement la pluie qui tombait encore. Elle tourna sa tête de l’autre coté sans attendre et sourit en rencontrant le regard familier du jeune homme qui tenait un parapluie au-dessus d’elle.
Sakura : C’était pas une bonne idée de sortir aujourd’hui…
Le jeune homme se contenta de lui sourire et s’avança un peu plus vers elle. Sa masse de cheveux noirs et ses yeux de charbon se fondaient dons l’obscurité soudain créée par l’orage.
Sakura : Que fais-tu dans ce quartier Sasuke, c’est pourtant loin de chez toi ?
Sasuke : Je te retourne la question.
Sakura : Je n’ai pas regardé où j’allais et maintenant je suis bonne pour rentrer à pied et sous la pluie !
Sasuke : Aller viens.
Sakura ne comprit pas tout de suite ce que Sasuke voulait dire, puis celui-ci lui fit un signe du menton. Sakura comprit et fit un pas vers lui pour se glisser sous le parapluie. Un frisson parcourut sa colonne vertébrale et elle sentit une veste chaude se poser sur ses épaules. Au contact du vêtement, elle ne put s’empêcher de rougir, ni de se rapprocher un peu plus de Sasuke. Les deux adolescents se mirent en route, leurs pas rythmés par le bruit des gouttes sur la toile du parapluie.
Sakura profita de ce silence pour se remémorer les événements de la semaine précédant et un en particulier…
*Flash Back : *
Cela faisait maintenant trois semaines que Sasuke et Sakura ne s’étaient plus adressé la parole. Ce jour-là, ils étaient arrivés en même temps au lycée, comme tous les matins. Ils prenaient le même car.
Sasuke était parti devant, avançant à grandes enjambées. Sakura le suivait de loin pour rejoindre, elle aussi, leurs amis.
Cependant, à mi-chemin de leur destination, Sakura avait fait tomber son portable et lâché un juron qui était parvenu à Sasuke. Accroupie pour ramasser coque et batterie, elle ne l’avait pas vu approcher. Elle commençait à s’énerver contre la batterie qu’elle n’arrivait pas à remettre en place quand une main s’était posée sur la sienne.
Elle avait levé les yeux et croisé son regard. Plus noir et plus envoûtant que d’habitude, elle n’avait pu s’empêcher de rougir. Il lui avait doucement retiré le portable des mains, sans un mot et avait remonté le tout avant de lui rendre.
Sakura avait fixé les mains du jeune homme pendant toute la durée de l’opération et quand elle eut rangé son téléphone, leurs regards s’étaient de nouveau croisés.
Sans comprendre ce qu’il lui arrivait, Sakura s’était jetée au cou de Sasuke qui n’avait pas hésité une seule seconde à la serrer dans ses bras. Sakura avait enfouit son visage couvert de larme dans le cou du jeune homme. Ses lèvres tremblantes et collées à son cou lui avait donné des frissons quand elle avait prononcé mille mots d’excuse pour sa conduite.
Sakura avait fini par se taire et ils étaient restés longtemps ainsi, dans les bras l’un de l’autre, sous les yeux ébahis de leurs amis.
Depuis, ils se reparlaient plus ou moins et vivaient une relation encore plus étrange qu’avant. En public, ils avaient l’air de simples amis et encore, comme si une barrière se dressait entre eux. Mais quand ils avaient l’occasion de se retrouver seuls, Sakura n’hésitait plus à se glisser dans ses bras, s’excusant encore et encore pour sa conduite ignoble envers lui, lui répétant sans cesse qu’elle était prête à tout pour le rendre heureux.
*Fin Flash Back *
Sakura soupira quand elle sentit la main se poser sur son épaule. Cependant, elle ne se dégagea pas, au contraire, elle se serra un peu plus contre le jeune homme et ils parcoururent les derniers mètres ainsi.
Quand ils arrivèrent chez Sakura, celle-ci proposa à Sasuke d’entrer et ce dernier ne se fit pas prier.
Sakura (entrant) : Papa ! Maman ! Je suis rentrée, je monte me changer. Sasuke est avec moi !
Un marmonnement lui parvenu de la cuisine et elle monta l’escalier, entraînant Sasuke après elle. Elle prit deux serviettes dans le placard et en donna une à Sasuke qui n’était pourtant pas beaucoup mouillé. Elle passa rapidement dans la salle de bain pour enfiler un jogging et un tee-shirt sec, puis elle rejoignit Sasuke dans sa chambre. Lorsqu’il la vit, un sourire moqueur se peignit sur son visage.
Sasuke : On a déjà vu plus sexy comme tenue…
Pour toute réponse, Sakura lui tira la langue et se jeta sur lui pour le faire basculer sur le lit. Elle le chatouilla quelques secondes sans effet. Elle finit par laisser tomber et s’allongea à côté de lui. Sasuke se redressa sur un coude et plongea son regard dans le sien. Sakura, gênée par le silence, se décida à la rompre.
Sakura : Merci de m’avoir raccompagné.
Sasuke : Hn.
Sakura : Tu sais, je suis…
Sasuke lui mit un doigt sur les lèvres pour la faire taire. Il savait très bien ce qu’elle allait dire. Il reposa sa tête sur le lit et déposa un baiser sur sa joue au passage. Sakura rougit violemment ce qui fit sourire Sasuke. Ce dernier leva sa main vers son visage et commença à caresser les rougeurs de ses joues. Quelques semaines plus tôt, il ne lui aurait jamais fait cet effet, il ne se serrait pas non plus permit d’aller aussi loin avec elle. Elle ne l’y aurait pas non plus autorisé.
Soudain, il avança de nouveau son visage vers le sien et posa ses lèvres sur sa joue, puis il descendit lentement très lentement vers ses lèvres. Le cœur de Sakura battait de plus en plus vite. Elle en avait tellement envie. Un tourbillon de sensations naquit dans le creux de son ventre et quand le jeune homme arriva à la commissure de ses lèvres, elle le laissa poser un dernier baiser avant de tourner la tête. Sasuke s’éloigna de Sakura.
Sakura (murmure) : Arrête s’il te plait…
Elle entendit le jeune homme soupirer et se mordit les lèvres. Oui, elle avait peur. Les sentiments qu’elle ressentait en sa présence, maintenant qu’elle se l’était avoué était plus fort que jamais. Elle finit tout de même par se glisser dans ses bras et Sasuke se mit à lui caresser les cheveux.
Sakura (murmure) : Je suis désolée…
Sasuke : Non, c’est moi qui m’excuse Sakura. Je t’aime, je ne peux pas lutter contre mes sentiments mais je ne devrais pas t’imposer ça.
Sakura en resta muette de surprise. C’était la première fois que Sasuke lui déclarait si ouvertement ses sentiments. Elle ferma les yeux, ne sachant comment réagir.
Sakura (chuchotant) : Sasuke…
Le jeune homme émit un grognement et se leva.
Sasuke : Je vais y aller. A demain.
Il sortit de sa chambre sans un mot de plus, sans se retourner non plus. Sakura ne se leva pas, elle ferma les yeux et s’endormit en se promettant de ne pas résister la prochaine fois…
***
Un jeune homme marchait d’un pas rapide sous la pluie battante. Son visage était en partie camouflé par une large capuche et il avançait tête baissée. Seul sa bouche était visible, un sourire joyeux y était posé malgré le temps maussade. Il portait un paquet dans les bras et un sac à dos visiblement bien remplit sur les épaules.
Il tourna une dernière fois, parcourut encore quelques mètres au pas de course et s’engouffra dans le hall d’un immeuble à la façade miteuse. Il tapa le digicode sur le boîtier apparemment neuf qui jurait affreusement avec les peintures décollées et les boîtes aux lettres défoncées.
Le jeune homme ouvrit difficilement la porte avec ses bras chargés et emprunta l’escalier sans même jeter un coup d’œil à l’ascenseur. En effet, une feuille de papier scotché sur la porte portait la mention " en panne " en lettres capitales.
Il monta les cinq étages à pied et frappa à la porte d’un appartement au fond du couloir sombre. Visiblement, la lumière aussi était en panne. La porte s’ouvrit et une silhouette se découpa à contre jour. La clarté envahit le couloir, découvrant des murs jaunis et un alignement de portes en tout point identiques. La jeune femme saisit le paquet que portait l’homme et fit volte-face. Il la suivit à l’intérieur et la porte se referma, replongeant le couloir dans la pénombre.
Il tourna une dernière fois, parcourut encore quelques mètres au pas de course et s’engouffra dans le hall d’un immeuble à la façade miteuse. Il tapa le digicode sur le boîtier apparemment neuf qui jurait affreusement avec les peintures décollées et les boîtes aux lettres défoncées.
Le jeune homme ouvrit difficilement la porte avec ses bras chargés et emprunta l’escalier sans même jeter un coup d’œil à l’ascenseur. En effet, une feuille de papier scotché sur la porte portait la mention " en panne " en lettres capitales.
Il monta les cinq étages à pied et frappa à la porte d’un appartement au fond du couloir sombre. Visiblement, la lumière aussi était en panne. La porte s’ouvrit et une silhouette se découpa à contre jour. La clarté envahit le couloir, découvrant des murs jaunis et un alignement de portes en tout point identiques. La jeune femme saisit le paquet que portait l’homme et fit volte-face. Il la suivit à l’intérieur et la porte se referma, replongeant le couloir dans la pénombre.
***
Le mois de juin arriva à grands pas tout comme le bac, pour le plus grand malheur des lycéens de terminale. Les cours prirent fin trop vite à leur goût et les séances de révisions, seul ou en groupes commencèrent.
Temari avait supplié Shikamaru de l’aider à réviser les maths et la physique chimie. Le jeune homme qui avait décidé de ne pas réviser au vu de ses capacités fut donc contraint d’inviter son adorable petite amie pour une après-midi des plus galères selon son point de vue.
Temari, bien décidée à ne laisser filer aucun point, révisait avec acharnement le fonctionnement d’un condensateur depuis vingt bonnes minutes quand Shikamaru se leva du lit. Il alla ouvrir la fenêtre et sous le regard inquisiteur de la jeune fille, il s’assit au bord, les jambes dans le vide côté rue.
Temari soupira de frustration. C’était véritablement agaçant d’avoir un petit ami aussi intelligent qui n’avait pas besoin de réviser pendant qu’elle se tuait au travail.
Temari : Tu pourrais au moins être compatissant et faire semblant de travailler au lieu de glander devant moi !
Shikamaru : Mais ça fait deux heures que je fais semblant de travailler…
Temari : Mh… Bon j’en ai marre de toute façon, j’arrête !
Shikamaru : Je vois que ta belle motivation s’est envolée…
Tout en disant ces mots, Shikamaru avait quitté son perchoir et s’était avancé vers le lit avec un sourire malicieux. Temari rassembla rapidement les feuilles qui traînaient autour d’elle et jeta le tout par terre en haussant les épaules. Elle tourna la tête de l’autre côté pour récupérer sa calculatrice et ne vit pas Shikamaru s’approcher encore. Elle déposa le précieux objet avec les livres et les feuilles et soupira. Elle s’apprêtait à ouvrir la bouche quand Shikamaru pressa ses lèvres contre les siennes. Temari sourit et passa ses mains derrière la nuque du jeune homme sans lâcher ses lèvres. Elle se laissa alors partir en arrière, entraînant Shikamaru avec elle. Le jeune homme se retrouva alors au-dessus d’elle, une main sur sa taille et l’autre lui servant d’appuie. Il intensifia le baiser qui se fit plus passionné.
Quand leurs bouches se séparèrent, une lueur de désir brillait dans les yeux de Temari qui ne laissa pas à Shikamaru le temps de se reculer. Elle s’empara à nouveau de ses lèvres et s’arrangea pour faire basculer le jeune homme. Cette fois, ce fut elle qui rompit le contact, un sourire espiègle sur les lèvres.
Temari se trouvait à présent à califourchon sur Shikamaru qui ne se privait pas de la détailler du regard. Des légères rougeurs apparurent sur les joues de Temari lorsqu’elle s’en rendit compte. Pour masquer sa gêne, elle déposa un rapide baiser sur les lèvres du jeune homme et se pencha vers son oreille.
Temari (chuchotant) : Je t’aime…
Elle se redressa en se mordant la lèvre et Shikamaru lui sourit en caressant sa cuisse.
Shikamaru : Moi aussi Tema.
Temari (soupirant ) : J’aurais jamais fini de réviser à temps !
Shikamaru : Bien sur que si. Je suis même sur que tu l’auras haut la main le bac.
Temari : Je dois prendre ça pour un compliment ?
Shikamaru : Mais sans forcer j’aurais quand même mieux que toi !
Temari : Je me disais bien aussi…
Shikamaru lui fit un clin d’œil alors que Temari levait les yeux au ciel. Elle finit par reprendre la parole.
Temari : Il faut que je te dise quelque chose …
Shikamaru : Je t’écoute.
Temari : Tu sais, à la fête foraine à la fin des vacances. J’ai passé un moment avec Sakura.
Shikamaru (faisant mine de bouder) : Quand tu m’as lâchement abandonné ?
Temari (l’embrassant rapidement) : C’est pas drôle.
Shikamaru : Et donc ?
Temari : Sakura m’a avoué qu’elle aimait Sasuke mais qu’elle avait peur. Elle n’ose pas lui dire et je ne sais pas si je dois garder ça pour moi ou en parler à Sasuke.
Shikamaru : Leur histoire, ce n’est pas tes affaires mais…
Temari (fronçant les sourcils) : Mais ?
Shikamaru : Sasuke le sait.
Temari : Quoi ? !
Shikamaru : Il a entendu votre conversation. Il est au courant des sentiments de Sakura. Je crois que c’est pour ça qu’il est comme ça avec elle maintenant.
Temari : Oh… Tu crois qu’elle finira par lui dire ?
Shikamaru : Mh… Elle est a deux doigts de craquer, elle a peut-être peur mais Sasuke sait la mettre en confiance.
Temari : Tu as sûrement raison.
Shikamaru : Bon mais assez parlé de Sasuke et Sakura, revenons plutôt à nous.
Temari lui jeta un regard interrogateur auquel Shikamaru répondit par un sourire en coin avant de ses redresser sur les coudes pour saisir les lèvres de Temari. Il se rallongea l’entraînant à son tour vers lui. Temari, toujours assise à califourchon sur lui, se pencha en avant et laissa inconsciemment ses mains se balader sur le torse du jeune homme. Celui-ci frissonna sous les caresses et posa ses mains sur sa taille pour l’attirer encore plus vers elle.
La respiration de Temari se fit plus saccadée alors que Shikamaru intensifiait leur baiser plein de désir. Finalement, Shikamaru décolla ses lèvres de celles de la jeune fille pour l’interroger du regard. Celle-ci se mordit la lèvre inférieure et déposa un baiser dans le cou de Shikamaru. Finalement, elle s’allongea sur son torse, son cœur battant la chamade.
Elle resta ainsi quelques minutes avant de s’emparer de nouveau des lèvres de Shikamaru, plus déterminée que jamais. Le jeune homme comprit le message et passa ses mains sous le tee-shirt la jeune fille qui frissonna.
Temari avait supplié Shikamaru de l’aider à réviser les maths et la physique chimie. Le jeune homme qui avait décidé de ne pas réviser au vu de ses capacités fut donc contraint d’inviter son adorable petite amie pour une après-midi des plus galères selon son point de vue.
Temari, bien décidée à ne laisser filer aucun point, révisait avec acharnement le fonctionnement d’un condensateur depuis vingt bonnes minutes quand Shikamaru se leva du lit. Il alla ouvrir la fenêtre et sous le regard inquisiteur de la jeune fille, il s’assit au bord, les jambes dans le vide côté rue.
Temari soupira de frustration. C’était véritablement agaçant d’avoir un petit ami aussi intelligent qui n’avait pas besoin de réviser pendant qu’elle se tuait au travail.
Temari : Tu pourrais au moins être compatissant et faire semblant de travailler au lieu de glander devant moi !
Shikamaru : Mais ça fait deux heures que je fais semblant de travailler…
Temari : Mh… Bon j’en ai marre de toute façon, j’arrête !
Shikamaru : Je vois que ta belle motivation s’est envolée…
Tout en disant ces mots, Shikamaru avait quitté son perchoir et s’était avancé vers le lit avec un sourire malicieux. Temari rassembla rapidement les feuilles qui traînaient autour d’elle et jeta le tout par terre en haussant les épaules. Elle tourna la tête de l’autre côté pour récupérer sa calculatrice et ne vit pas Shikamaru s’approcher encore. Elle déposa le précieux objet avec les livres et les feuilles et soupira. Elle s’apprêtait à ouvrir la bouche quand Shikamaru pressa ses lèvres contre les siennes. Temari sourit et passa ses mains derrière la nuque du jeune homme sans lâcher ses lèvres. Elle se laissa alors partir en arrière, entraînant Shikamaru avec elle. Le jeune homme se retrouva alors au-dessus d’elle, une main sur sa taille et l’autre lui servant d’appuie. Il intensifia le baiser qui se fit plus passionné.
Quand leurs bouches se séparèrent, une lueur de désir brillait dans les yeux de Temari qui ne laissa pas à Shikamaru le temps de se reculer. Elle s’empara à nouveau de ses lèvres et s’arrangea pour faire basculer le jeune homme. Cette fois, ce fut elle qui rompit le contact, un sourire espiègle sur les lèvres.
Temari se trouvait à présent à califourchon sur Shikamaru qui ne se privait pas de la détailler du regard. Des légères rougeurs apparurent sur les joues de Temari lorsqu’elle s’en rendit compte. Pour masquer sa gêne, elle déposa un rapide baiser sur les lèvres du jeune homme et se pencha vers son oreille.
Temari (chuchotant) : Je t’aime…
Elle se redressa en se mordant la lèvre et Shikamaru lui sourit en caressant sa cuisse.
Shikamaru : Moi aussi Tema.
Temari (soupirant ) : J’aurais jamais fini de réviser à temps !
Shikamaru : Bien sur que si. Je suis même sur que tu l’auras haut la main le bac.
Temari : Je dois prendre ça pour un compliment ?
Shikamaru : Mais sans forcer j’aurais quand même mieux que toi !
Temari : Je me disais bien aussi…
Shikamaru lui fit un clin d’œil alors que Temari levait les yeux au ciel. Elle finit par reprendre la parole.
Temari : Il faut que je te dise quelque chose …
Shikamaru : Je t’écoute.
Temari : Tu sais, à la fête foraine à la fin des vacances. J’ai passé un moment avec Sakura.
Shikamaru (faisant mine de bouder) : Quand tu m’as lâchement abandonné ?
Temari (l’embrassant rapidement) : C’est pas drôle.
Shikamaru : Et donc ?
Temari : Sakura m’a avoué qu’elle aimait Sasuke mais qu’elle avait peur. Elle n’ose pas lui dire et je ne sais pas si je dois garder ça pour moi ou en parler à Sasuke.
Shikamaru : Leur histoire, ce n’est pas tes affaires mais…
Temari (fronçant les sourcils) : Mais ?
Shikamaru : Sasuke le sait.
Temari : Quoi ? !
Shikamaru : Il a entendu votre conversation. Il est au courant des sentiments de Sakura. Je crois que c’est pour ça qu’il est comme ça avec elle maintenant.
Temari : Oh… Tu crois qu’elle finira par lui dire ?
Shikamaru : Mh… Elle est a deux doigts de craquer, elle a peut-être peur mais Sasuke sait la mettre en confiance.
Temari : Tu as sûrement raison.
Shikamaru : Bon mais assez parlé de Sasuke et Sakura, revenons plutôt à nous.
Temari lui jeta un regard interrogateur auquel Shikamaru répondit par un sourire en coin avant de ses redresser sur les coudes pour saisir les lèvres de Temari. Il se rallongea l’entraînant à son tour vers lui. Temari, toujours assise à califourchon sur lui, se pencha en avant et laissa inconsciemment ses mains se balader sur le torse du jeune homme. Celui-ci frissonna sous les caresses et posa ses mains sur sa taille pour l’attirer encore plus vers elle.
La respiration de Temari se fit plus saccadée alors que Shikamaru intensifiait leur baiser plein de désir. Finalement, Shikamaru décolla ses lèvres de celles de la jeune fille pour l’interroger du regard. Celle-ci se mordit la lèvre inférieure et déposa un baiser dans le cou de Shikamaru. Finalement, elle s’allongea sur son torse, son cœur battant la chamade.
Elle resta ainsi quelques minutes avant de s’emparer de nouveau des lèvres de Shikamaru, plus déterminée que jamais. Le jeune homme comprit le message et passa ses mains sous le tee-shirt la jeune fille qui frissonna.
***
Neji était allongé sur le ventre sur le grand lit de Tenten. Ses coudes étaient posés de chaque côté d’un volumineux livre de maths à l’intérêt plus que douteux. Cependant, le jeune homme semblait passionné par les équations et les formules mathématiques qui s’étendaient sous ses yeux. Muni d’un bloc de feuille et d’un crayon, il résolvait méthodiquement les calculs un par un.
Il s’attaqua à une équation plus compliquée que les autres et décida de laisser de côté le calcul mental. Il tendit le bras à sa droite pour attraper sa calculatrice. Les yeux toujours rivés sur sa feuille, il tâtonna sur le lit à la recherche de l’instrument miracle sans le trouver. Il finit par lever les yeux de sa feuille et croisa ses prunelles noisette de Tenten. Il soupira et tendit la main vers elle.
La jeune fille jouait avec sa calculatrice. Elle avait visiblement abandonné les maths depuis un petit moment et ne semblait pas décidée à rendre sa calculatrice à Neji.
Tenten : Tu veux pas arrêter deux minutes ? !
Neji : Tenten, ma calculatrice.
Tenten : Depuis deux semaines, à chaque fois qu’on se voit, tu passes ton temps à réviser.
Neji : Tenten, tu te rends compte que dans deux semaines, on passe notre bac ? !
Tenten : C’est une raison pour m’ignorer ?
Neji (soupirant) : Ten’…
Tenten lança la calculatrice de Neji sur le lit et se leva brusquement sous le regard interrogateur du jeune homme. Sans se retourner, elle quitta sa chambre et claqua violemment la porte. Sans hésiter une seconde, Neji se leva à son tour et le suivit. Il la rattrapa dans le couloir et lui saisit le bras pour l’arrêter.
Neji (fronçant les sourcils) : Tent…
Tenten : Lâche-moi ! Va réviser tes maths !
Neji : Il t’arrive quoi aujourd’hui ?
Tenten : Il m’arrive que depuis deux semaines, tu ne me regardes plus, c’est à peine si tu m’embrasses pour me dire bonjour. Le bac est donc si important pour toi ? Ou alors c’est peut-être moi qui n’ai aucune importance !
Neji : Ne dis pas ça Ten’ ! Tu sais bien que…
Tenten (les larmes aux yeux) : Comment j’ai pu croire que tu t’intéressais vraim…
Neji posa un doigt sur les lèvres de sa petite amie et plongea ses yeux dans les siens.
Neji (d’une voix douce) : Arrête… Je t’aime Ten’ et tu le sais. Je t’aime.
Tenten : Neji, je…
Neji pressa doucement ses lèvres contre celles de Tenten qui n’eut pas le temps de terminer sa phrase. La jeune fille se laissa aller dans les bras de Neji sans lâcher ses lèvres. Après de longues secondes, Neji mit fin au baiser et ramena Tenten sans sa chambre. Il la tira jusqu’au lit et la reprit dans ses bras. Tenten lui sourit timidement.
Tenten : Désolée… Je sais pas ce qui m’a pris.
Neji : Désolé de t’avoir mise de côté ses derniers jours.
Tenten lui sourit plus franchement et l’embrassa de nouveau pour le plus grand bonheur de Neji qui sentait son cœur battre la chamade. N’y tenant plus, il approfondit le baiser et fit basculer Tenten de façon à se retrouver au-dessus d’elle, une main de chaque côté de sa taille. Il lâcha ses lèvres et plongea son regard dans le sien.
Tenten leva une main vers le visage de son petit ami pour replacer une mèche de ses longs cheveux bruns derrière ses oreilles. Un petit rire s’échappa de ses lèvres alors qu’elle déposa un baiser fugace sur ses lèvres.
Neji déposa un baiser dans son cou et Tenten sentit son cœur accélérer. Finalement, le jeune homme saisit son livre de maths et l’envoya par terre avant de s’allonger à côté de Tenten. Elle déposa sa tête sur le torse du jeune homme et sourit en entendant son rythme cardiaque.
Les bras de Neji se refermèrent sur elle et elle laissa échapper un léger soupir de bonheur. Elle l’aimait tellement qu’elle avait toujours peur de le perdre. Elle avait tellement souffert et tellement cru que rien ne serait jamais possible entre eux que depuis qu’elle vivait ce rêve, elle angoissait de le voir se briser.
Ce qu’elle ne savait pas, c’était que Neji l’aimait tout autant et que pour rien au monde, il n’aurait laissé quoique ce soit se mettre entre eux. Le jeune homme déposa un baiser dans les cheveux parfumés à la camomille de Tenten et lui murmura quelques mots à l’oreille.
Neji et Tenten terminèrent leur après-midi dans les bras l’un de l’autre, loin des cours de maths ou de physique, à parler de tout et de rien.
Il s’attaqua à une équation plus compliquée que les autres et décida de laisser de côté le calcul mental. Il tendit le bras à sa droite pour attraper sa calculatrice. Les yeux toujours rivés sur sa feuille, il tâtonna sur le lit à la recherche de l’instrument miracle sans le trouver. Il finit par lever les yeux de sa feuille et croisa ses prunelles noisette de Tenten. Il soupira et tendit la main vers elle.
La jeune fille jouait avec sa calculatrice. Elle avait visiblement abandonné les maths depuis un petit moment et ne semblait pas décidée à rendre sa calculatrice à Neji.
Tenten : Tu veux pas arrêter deux minutes ? !
Neji : Tenten, ma calculatrice.
Tenten : Depuis deux semaines, à chaque fois qu’on se voit, tu passes ton temps à réviser.
Neji : Tenten, tu te rends compte que dans deux semaines, on passe notre bac ? !
Tenten : C’est une raison pour m’ignorer ?
Neji (soupirant) : Ten’…
Tenten lança la calculatrice de Neji sur le lit et se leva brusquement sous le regard interrogateur du jeune homme. Sans se retourner, elle quitta sa chambre et claqua violemment la porte. Sans hésiter une seconde, Neji se leva à son tour et le suivit. Il la rattrapa dans le couloir et lui saisit le bras pour l’arrêter.
Neji (fronçant les sourcils) : Tent…
Tenten : Lâche-moi ! Va réviser tes maths !
Neji : Il t’arrive quoi aujourd’hui ?
Tenten : Il m’arrive que depuis deux semaines, tu ne me regardes plus, c’est à peine si tu m’embrasses pour me dire bonjour. Le bac est donc si important pour toi ? Ou alors c’est peut-être moi qui n’ai aucune importance !
Neji : Ne dis pas ça Ten’ ! Tu sais bien que…
Tenten (les larmes aux yeux) : Comment j’ai pu croire que tu t’intéressais vraim…
Neji posa un doigt sur les lèvres de sa petite amie et plongea ses yeux dans les siens.
Neji (d’une voix douce) : Arrête… Je t’aime Ten’ et tu le sais. Je t’aime.
Tenten : Neji, je…
Neji pressa doucement ses lèvres contre celles de Tenten qui n’eut pas le temps de terminer sa phrase. La jeune fille se laissa aller dans les bras de Neji sans lâcher ses lèvres. Après de longues secondes, Neji mit fin au baiser et ramena Tenten sans sa chambre. Il la tira jusqu’au lit et la reprit dans ses bras. Tenten lui sourit timidement.
Tenten : Désolée… Je sais pas ce qui m’a pris.
Neji : Désolé de t’avoir mise de côté ses derniers jours.
Tenten lui sourit plus franchement et l’embrassa de nouveau pour le plus grand bonheur de Neji qui sentait son cœur battre la chamade. N’y tenant plus, il approfondit le baiser et fit basculer Tenten de façon à se retrouver au-dessus d’elle, une main de chaque côté de sa taille. Il lâcha ses lèvres et plongea son regard dans le sien.
Tenten leva une main vers le visage de son petit ami pour replacer une mèche de ses longs cheveux bruns derrière ses oreilles. Un petit rire s’échappa de ses lèvres alors qu’elle déposa un baiser fugace sur ses lèvres.
Neji déposa un baiser dans son cou et Tenten sentit son cœur accélérer. Finalement, le jeune homme saisit son livre de maths et l’envoya par terre avant de s’allonger à côté de Tenten. Elle déposa sa tête sur le torse du jeune homme et sourit en entendant son rythme cardiaque.
Les bras de Neji se refermèrent sur elle et elle laissa échapper un léger soupir de bonheur. Elle l’aimait tellement qu’elle avait toujours peur de le perdre. Elle avait tellement souffert et tellement cru que rien ne serait jamais possible entre eux que depuis qu’elle vivait ce rêve, elle angoissait de le voir se briser.
Ce qu’elle ne savait pas, c’était que Neji l’aimait tout autant et que pour rien au monde, il n’aurait laissé quoique ce soit se mettre entre eux. Le jeune homme déposa un baiser dans les cheveux parfumés à la camomille de Tenten et lui murmura quelques mots à l’oreille.
Neji et Tenten terminèrent leur après-midi dans les bras l’un de l’autre, loin des cours de maths ou de physique, à parler de tout et de rien.
***
Un bruissement de papier retentit dans l’appartement. Un crayon grata le papier et des doigts fins tapèrent quelques opérations sur une calculatrice dernier cri. La jeune fille replaça ses longs cheveux noirs aux reflets violets derrière ses oreilles et raya ses derniers calculs. Elle ouvrit un classeur en soupirant et en sortit une petite fiche cartonnée remplie de formules et de définitions de couleurs différentes. Certaines étaient soulignées et d’autres encadrées. Un travail minutieux avait été accompli. La jeune fille parcourut la fiche des yeux et reporta son regard à son exercice. Elle soupira et secoua la tête avant de terminer sa question.
Les heures passèrent…
La jeune fille était assise en tailleur dans un canapé miteux recouvert d’une couverture de fortune. Un livre de biologie trônait sur ses genoux alors que ses yeux parcouraient fiévreusement les livres les unes après les autres dans l’espoir de retenir le maximum de choses. Elle engrangeait le maximum de connaissance en vue de l’examen qui l’attendait quelques jours plus tard.
Cependant, cela faisait déjà plusieurs heures qu’elle avait plongé le nez dans ses livres et sa concentration commençait à faiblir. Ce fut donc un soulagement pour elle d’entendre la voix masculine s’élever depuis la cuisine.
… : Ma puce, tu viens manger ? C’est prêt.
Les heures passèrent…
La jeune fille était assise en tailleur dans un canapé miteux recouvert d’une couverture de fortune. Un livre de biologie trônait sur ses genoux alors que ses yeux parcouraient fiévreusement les livres les unes après les autres dans l’espoir de retenir le maximum de choses. Elle engrangeait le maximum de connaissance en vue de l’examen qui l’attendait quelques jours plus tard.
Cependant, cela faisait déjà plusieurs heures qu’elle avait plongé le nez dans ses livres et sa concentration commençait à faiblir. Ce fut donc un soulagement pour elle d’entendre la voix masculine s’élever depuis la cuisine.
… : Ma puce, tu viens manger ? C’est prêt.
***
Un bruit sec claqua dans la chambre du jeune homme, suivit d’un grognement. Kiba venait de jeter rageusement son livre d’histoire sur le sol de sa chambre avant de se jeter sur son lit. Ino se leva de sa chaise et vint s’asseoir à côté du jeune homme. Elle noua ses doigts autour des siens et plongea ses yeux dans son regard brun.
Ino : Qu’est-ce que c’est cette fois ?
Kiba (soupirant) : C’est… Pfff…
Ino : …
Kiba : Mais pourquoi je révise ce putain de bac, je l’aurais même pas ! Ça veut pas rentrer j’y peux rien ! J’y arrive pas. Je vais tout foirer encore !
Ino (levant les yeux au ciel) : Tu nous ferais pas une petite crise de stress ?
Kiba : …
Ino : Aller, je vais t’aider.
Ino se pencha vers lui et l’embrassa tendrement. Cependant, quand Kiba voulut prolonger le baiser, elle se redressa et lui jeta son livre d’histoire qu’il avait lancé par terre quelques minutes plus tôt. Le jeune homme soupira et rouvrit le livre à la bonne page. Ino attrapa ses fiches de révisions laissées sur le bureau de Kiba et s’assit entre les jambes du jeune homme.
Elle entreprit alors de lui faire apprendre les dates et les événements importants de la Guerre Froide. Ce ne fut pas une mince affaire et elle dut s’y prendre à grand renfort de moyen mnémotechnique pour faire rentrer tous ces nombres dans la tête de Kiba.
Ino rangea son dernier livre dans son sac de cours et se tourna vers son petit ami en souriant.
Ino : T’en fait pas, tu vas y arriver. En plus, demain ce n’est que la philo.
Kiba (gémissant) : Que ? ! J’ai eu 4 toute l’année…
Ino s’approcha du jeune homme assit sur son lit. Elle prit place sur ses genoux et passa ses mains derrière sa nuque.
Ino : Tu es super tendu, déstresse !
Kiba : C’est sûr que je n’ai absolument aucune raison de stresser ! Ino, tu te rends compte qu’on passe le bac à partir de demain ! ! !
Ino : Oui, mais ça n’est pas aussi insurmontable que tu le crois. Des centaines de gens l’ont fait avant nous. Tu n’es pas plus bête qu’un autre !
Kiba : Mh…
Ino éclata de rire devant l’air peu convaincu de Kiba, ce qui réussit finalement à arracher un sourire au jeune homme. Kiba s’empara alors des lèvres de sa petite amie et l’embrassa avec passion. Il passa ses mains dans son dos déclenchant des frissons chez la jeune fille.
Soudain, Ino se mit à chatouiller Kiba pour échapper à son étreinte. Déconcentré, le jeune homme la lâcha et Ino fila à l’autre bout de la pièce en riant. Bien vite, Kiba la rattrapa et s’empressa de la chatouiller à son tour. Ino se débattit comme elle put mais elle finit par se retrouver bloquée. Kiba la plaqua alors contre le mur et recommença à l’embrasser. Cette fois, Ino ne résista pas et se laissa aller dans les bras du jeune homme. Entre deux baisers, elle se pencha vers son oreille pour lui glisser un tendre "Je t’aime. ", auquel Kiba répondit en s’emparant à nouveau de ses lèvres.
Ino avait enfin réussit à faire oublier son stress à Kiba qui était plus heureux que jamais.
Ino : Qu’est-ce que c’est cette fois ?
Kiba (soupirant) : C’est… Pfff…
Ino : …
Kiba : Mais pourquoi je révise ce putain de bac, je l’aurais même pas ! Ça veut pas rentrer j’y peux rien ! J’y arrive pas. Je vais tout foirer encore !
Ino (levant les yeux au ciel) : Tu nous ferais pas une petite crise de stress ?
Kiba : …
Ino : Aller, je vais t’aider.
Ino se pencha vers lui et l’embrassa tendrement. Cependant, quand Kiba voulut prolonger le baiser, elle se redressa et lui jeta son livre d’histoire qu’il avait lancé par terre quelques minutes plus tôt. Le jeune homme soupira et rouvrit le livre à la bonne page. Ino attrapa ses fiches de révisions laissées sur le bureau de Kiba et s’assit entre les jambes du jeune homme.
Elle entreprit alors de lui faire apprendre les dates et les événements importants de la Guerre Froide. Ce ne fut pas une mince affaire et elle dut s’y prendre à grand renfort de moyen mnémotechnique pour faire rentrer tous ces nombres dans la tête de Kiba.
Ino rangea son dernier livre dans son sac de cours et se tourna vers son petit ami en souriant.
Ino : T’en fait pas, tu vas y arriver. En plus, demain ce n’est que la philo.
Kiba (gémissant) : Que ? ! J’ai eu 4 toute l’année…
Ino s’approcha du jeune homme assit sur son lit. Elle prit place sur ses genoux et passa ses mains derrière sa nuque.
Ino : Tu es super tendu, déstresse !
Kiba : C’est sûr que je n’ai absolument aucune raison de stresser ! Ino, tu te rends compte qu’on passe le bac à partir de demain ! ! !
Ino : Oui, mais ça n’est pas aussi insurmontable que tu le crois. Des centaines de gens l’ont fait avant nous. Tu n’es pas plus bête qu’un autre !
Kiba : Mh…
Ino éclata de rire devant l’air peu convaincu de Kiba, ce qui réussit finalement à arracher un sourire au jeune homme. Kiba s’empara alors des lèvres de sa petite amie et l’embrassa avec passion. Il passa ses mains dans son dos déclenchant des frissons chez la jeune fille.
Soudain, Ino se mit à chatouiller Kiba pour échapper à son étreinte. Déconcentré, le jeune homme la lâcha et Ino fila à l’autre bout de la pièce en riant. Bien vite, Kiba la rattrapa et s’empressa de la chatouiller à son tour. Ino se débattit comme elle put mais elle finit par se retrouver bloquée. Kiba la plaqua alors contre le mur et recommença à l’embrasser. Cette fois, Ino ne résista pas et se laissa aller dans les bras du jeune homme. Entre deux baisers, elle se pencha vers son oreille pour lui glisser un tendre "Je t’aime. ", auquel Kiba répondit en s’emparant à nouveau de ses lèvres.
Ino avait enfin réussit à faire oublier son stress à Kiba qui était plus heureux que jamais.
***
Des murmures s’élevaient de toute part dans le grand couloir menant à la salle d’examen. Des dizaines de lycéens, convocation et carte d’identité à la main, tentaient vainement de lutter contre le stress qui les envahissait.
Soudain, la porte s’ouvrit. Chacun entra dans un silence religieux, à la recherche de son nom sur une table. Des trousses furent sorties des sacs, des stylos ouverts. La tension était à son comble. Des signatures sur une feuille d’émargement et l’enveloppe sellée, tant redoutée arriva.
Certains retinrent leur respiration, d’autres poussèrent des soupirs de soulagement. Quelques traits sur un tableau noir et ce ne fut dès lors que bruissements de papier et de stylos grattant les copies dans la salle.
Quelques soupirs de désespoirs, le craquement d’un papier de bonbon, les regards noirs des examinateurs, quelques mains moites, de rares sourires de satisfaction.
Est-il absurde de désirer l’impossible ?
Le langage trahit-il la pensée ?
Calculer l’intégrale I2.
Quelle est la relation entre l’intensité, la tension et Q ?
Le candidat traitera l’un de ces deux sujets. (300 mots)
La tension monte et redescend. Le stress laisse place à la joie de la réussite, aux larmes, au doute, au soulagement. Aux épreuves se succèdent les vacances mais aussi l’attente des résultats…
Soudain, la porte s’ouvrit. Chacun entra dans un silence religieux, à la recherche de son nom sur une table. Des trousses furent sorties des sacs, des stylos ouverts. La tension était à son comble. Des signatures sur une feuille d’émargement et l’enveloppe sellée, tant redoutée arriva.
Certains retinrent leur respiration, d’autres poussèrent des soupirs de soulagement. Quelques traits sur un tableau noir et ce ne fut dès lors que bruissements de papier et de stylos grattant les copies dans la salle.
Quelques soupirs de désespoirs, le craquement d’un papier de bonbon, les regards noirs des examinateurs, quelques mains moites, de rares sourires de satisfaction.
Est-il absurde de désirer l’impossible ?
Le langage trahit-il la pensée ?
Calculer l’intégrale I2.
Quelle est la relation entre l’intensité, la tension et Q ?
Le candidat traitera l’un de ces deux sujets. (300 mots)
La tension monte et redescend. Le stress laisse place à la joie de la réussite, aux larmes, au doute, au soulagement. Aux épreuves se succèdent les vacances mais aussi l’attente des résultats…
***
Temari fut la dernière sortit de l’épreuve d’histoire. Moins d’un quart d’heure avant l’arrêt de l’épreuve, elle rendit enfin sa copie à l’examinateur, récupéra son sac et sortit de la salle. Elle ne traîna pas dans les couloirs du lycée et rejoignit directement ses amis qui l’attendaient devant le lycée, au soleil.
Elle déposa son sac par terre, glissa sa main dans celle de Shikamaru et poussa un soupir de soulagement avant de crier :
Temari : Vacances ! ! ! ! ! !
Sakura : Ça fait plaisir ! Enfin fini.
Kiba : Et dire que je stresse déjà pour les résultats.
Ino (lui prenant la main) : T’inquiète, je vais te faire penser à autre chose !
Sakura : Dites le si on vous gêne !
Tenten : Bon déjà eux on va pas les voir beaucoup pendant les trois prochaines semaines !
Neji (à l’oreille de Tenten) : Moi, du moment que je te vois toi…
Tenten rit un instant et se tourna vers Neji pour l’embrasser rapidement. Sakura leva les yeux au ciel et soupira. Personne ne loupa sa réaction et tout le monde explosa de rire, sauf Shikamaru et Temari trop occupés à s’embrasser à leur tour.
Kiba : Bon on va les manger ces ramens ? !
Ino : Arrête, on dirait Naruto.
Kiba leva les yeux au ciel et saisit la main de sa petite amie pour prendre la tête du groupe. Neji et Tenten les suivirent sans se faire prier.
Temari passa à côté de Sakura et lui glissa quelques mots à l’oreille.
Temari (murmurant) : Tu ne te sens pas trop seule Sakura ?
Sakura (avec un air mystérieux) : Pas le moins du monde…
Temari : Tu lui as dit ?
Sakura ne répondit pas à la question de Temari et se contenta de regarder Sasuke. La blonde haussa les épaules et tendit la main vers Shikamaru avant de suivre Ino, Kiba, Neji et Tenten.
Sakura se rapprocha de Sasuke et lui sourit.
Sasuke : On fait quoi ?
Sakura sourit malicieusement et jeta un regard entendu à Sasuke. Celui-ci comprit et sourit à son tour. Ils jetèrent un dernier regard à leur lycée et partirent à la suite des trois couples déjà en route.
Alors que le groupe s’éloignait joyeusement, une photo s’échappa d’une poche et tourbillonna quelques minutes dans le vent. Elle finit par se poser en douceur au sol, découvrant deux adolescents s’embrassant amoureusement.
Elle déposa son sac par terre, glissa sa main dans celle de Shikamaru et poussa un soupir de soulagement avant de crier :
Temari : Vacances ! ! ! ! ! !
Sakura : Ça fait plaisir ! Enfin fini.
Kiba : Et dire que je stresse déjà pour les résultats.
Ino (lui prenant la main) : T’inquiète, je vais te faire penser à autre chose !
Sakura : Dites le si on vous gêne !
Tenten : Bon déjà eux on va pas les voir beaucoup pendant les trois prochaines semaines !
Neji (à l’oreille de Tenten) : Moi, du moment que je te vois toi…
Tenten rit un instant et se tourna vers Neji pour l’embrasser rapidement. Sakura leva les yeux au ciel et soupira. Personne ne loupa sa réaction et tout le monde explosa de rire, sauf Shikamaru et Temari trop occupés à s’embrasser à leur tour.
Kiba : Bon on va les manger ces ramens ? !
Ino : Arrête, on dirait Naruto.
Kiba leva les yeux au ciel et saisit la main de sa petite amie pour prendre la tête du groupe. Neji et Tenten les suivirent sans se faire prier.
Temari passa à côté de Sakura et lui glissa quelques mots à l’oreille.
Temari (murmurant) : Tu ne te sens pas trop seule Sakura ?
Sakura (avec un air mystérieux) : Pas le moins du monde…
Temari : Tu lui as dit ?
Sakura ne répondit pas à la question de Temari et se contenta de regarder Sasuke. La blonde haussa les épaules et tendit la main vers Shikamaru avant de suivre Ino, Kiba, Neji et Tenten.
Sakura se rapprocha de Sasuke et lui sourit.
Sasuke : On fait quoi ?
Sakura sourit malicieusement et jeta un regard entendu à Sasuke. Celui-ci comprit et sourit à son tour. Ils jetèrent un dernier regard à leur lycée et partirent à la suite des trois couples déjà en route.
Alors que le groupe s’éloignait joyeusement, une photo s’échappa d’une poche et tourbillonna quelques minutes dans le vent. Elle finit par se poser en douceur au sol, découvrant deux adolescents s’embrassant amoureusement.
Et voilà, c'était le dernier chapitre de cette fiction...
Il ne me reste plus qu'à écrire l'épilogue.
Pour la fin... je vous laisse interpréter... ;-)
En tout cas j'espère que ce dernier chapitre vous plait, que je finisse sur une bonne note! =)
J'attends vos commentaires!
Bonne lecture
Yokai-chan, Posté le lundi 27 juillet 2009 07:31
Haa mais comme ch'uis à la bourre pépère ! >__< Ça craint du boudin =/ Mais bon je vais rectifier ça immédiatement alors accroche toi à ton super nouvel trop beau ordi portable delamortkitu parce que je suis inspirée niveau conneries x)
Bon je commence par les trucs plus secondaires avant de parler du Sakura/Sasuke. Alors hum hum...qu'est-ce que je peux les aimer d'amûûûr Shika et Tema ! *o* Le couple vraiment parfait, rien à redire x) Même si à la fin ça m'a surprise un peu parce que j'attendais juste le moment où la mère de Shika allait débarquer dans la chambre et les interrompre ou un truc du genre XD
Et ensuite juste un truc à dire...l'année prochaine je VEUX avoir des séance de révision comme Neji et Tenten ! XD Bon pas sûr que ça soit super pour bosser mais ça doit être plutôt agréable hum hum >.> Han je te jure y en a qui ont trop du bol -_- (et tu fais partie du lot...) Enfin bon je finirais vieille et célibataire tant pis u_u ...T_____________________________T
Enfin en parlant de révision du bac, je pense que je serrais plutôt du genre Kiba enfaite >.> Parce que ça m'étonnerait que j'irai les mains dans les poches en stressant juste pour savoir quelle mention j'aurai xD Bon comme dit faut juste trouver un mec pour te destresser comme Ino la fait avec lui xD Ça me semble d'ailleurs la meilleure des méthodes XD Mais ils sont vraiment trop mignon n'empêche ^^ Et puis Naruto et Hinata aussi =) Je te l'avais déjà dit mais j'aime bien le fait qu'ils révisent en parallèle à Suna et à Konoha ^^ Et puis Hinata n'ouvre pas sa gueule donc ouais c'est classe XD
Bon et je crois qu'il est temps de passer au gros morceau du chapitre (et de ta fic aussi d'ailleurs) SasuSaku ! =D Alors ouais comme le titre l'indique c'est tout en ambiguïté (t'as vu? j'ai lu le titre pour une fois! xD) Parce que déjà au début tu te dis que c'est pas normal et qu'il a dut se passer un truc quoi. Et donc effectivement grâce au flashback on voit qu'il se sont comme qui dirait réconcilié mais qu'ils ne sont plus vraiment "amis" mais un peu plus =D Mais c'est seulement à la toute fin grâce à la photo qu'on sait qu'ils sont ensemble quoi ^^ Et puis j'ai bien eu envie de t'engueuler parce qu'ils auront pas eu droit au baiser final avec feu d'artifice et fanfare mais bon on va dire que c'est un baiser de fin indirect (oulà mais qu'est-ce que je suis en train de raconter moi? Oo) donc on te pardonne ^^
Enfin sache que t'avais la pression avec le SasuSaku final et que tu ne nous as pas déçu! C'était génial! ^^
Et voilà ce n'est pas sans un pointe d'émotion que je termine ce commentaire sur le dernier chapitre de cette fic qui, même si elle commençait à te souler à la fin, était vraiment bien et qui m'a fait hurler de nombreuses fois et même pleurer une fois u_u
Tu peux être fière de toi Cocotte! =)
Enfin j'ai encore l'épilogue à commenter et ensuite je peux enfin m'attaquer à ta toute nouvelle fic ^^
Ciao!